Isère Grenoble devra construire 876 logements par an jusqu’en 2030

Certes, depuis 2015, c’est bien la Métropole qui a la compétence logement et qui en définit les grandes orientations. C’est le fameux PLH. Mais, au-delà de l’avis que les communes métropolitaines doivent rendre avant le conseil communautaire ce vendredi, chacune doit toujours prendre sa part chaque année dans cette politique publique majeure.

Margot Belair, adjointe à l’urbanisme, a rappelé que « la crise du logement à l’échelle nationale est sans précédent » et que « les prix de l’immobilier ont augmenté quatre fois plus vite que les revenus des ménages ces vingt dernières années ». Et de recentrer le débat sur la Métropole, « où l’on compte 17 000 demandes actives de logements sociaux ». Dont, selon la conseillère du groupe GDES, Amel Zenati, « 5 900 d’entre eux sont grenoblois ».

Grenoble vise 30 % de logements sociaux dans dix ans

Alors Margot Belair a insisté sur « la nécessité de production de…

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Grenoble capitale de la construction bois

Grenoble capitale de la construction bois


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mars 22, 2024

Source:
Jonas Tophoven Fordaq

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Grenoble capitale de la construction boisLe magnifique catalogue PNCB de 2023 et le programme du Forum Bois Construction 2024 le confirment : il ne se passe pas grand chose en construction bois à Paris en ce moment, en comparaison de la poussée quantitative et qualitative ailleurs en France. Et notamment à Grenoble, une ville qui jouit déjà d’un beau passé en termes de construction bois moderne, et qui se dote actuellement de nouveaux bâtiments exceptionnels, comme l’immeuble de bureaux XYLO livré par Linckcity en janvier dernier.

Pas facile de faire de l’architecture en bois avec des trames trop étroites, les précautions incendies C+D, les recommandations concernant la conception des façades face au risque d’incendie, l’exigence d’une descente claire des charges. Lorsqu’en plus on se trouve en zone sismique comme à Grenoble (sismicité moyenne, 4) toutes ces contraintes peuvent converger vers un bâtiment vertueux et bien laid. 

Pour Linckcity, Composite Architectes parviennent à gommer l’ennui tout en développant un nouveau style de bureau, ce qui semble indispensable en ces temps de crise profonde du tertiaire. Par exemple, on peut venir au travail à vélo, le garer convenablement à l’abri et prendre une douche avant d’aller travailler. Les espaces verts partagés sont nombreux et offrent une vue imprenable sur les Alpes, à partir de la ZAC Presqu’île régit par l’architecte De Porzamparc.

Bref, la forme est bien trouvée, la formule de travail est innovante, et en plus, on a affaire à un R+7 sismique ou tout au-dessus de rez-de-chaussée est en bois. C’était quoi les limites dites plausibles de passage obligatoire au béton dans les plots du Village des Athlètes ? 

Mais le plus secouant, c’est que l’immeuble n’a pas été construit par SDCC, mais par Bouygues, et pas par le noyau parisien de Brézillon, mais par Bouygues Bâtiment Sud Est, qui s’y installe et va avoir très envie de faire d’autres petits. Avant, ces choses-là étaient réservées à Mathis ou à une poignée de grands charpentiers. 

Après XYLO il y aura le WOOD, toujours à Grenoble. Parallèlement, l’agence Roda présente son école de la ZAC FLaubert dans le cadre d’un atelier du Forum Bois Construction consacré aux écoquartiers dignes de ce nom. Il est vrai que la ville de Grenoble ne vient pas à Nancy dévoiler ses projets d’urbanisme vert, ni Nancy d’ailleurs. La ZAC Flaubert a pris des années de retard, pas seulement à cause du COVID, mais pour des problèmes de budget. D’ici la fin de la mandature municipale française, on va avoir la surprise de voir des développements biosourcés important, notamment à Nantes. C’est moins net à Bordeaux et moins clair dans les autres villes de la vague verte. Mais ce qui manque par-dessus tout, c’est la formulation d’une approche adaptée en termes d’urbanisme. C’est même déjà trop tard. D’ailleurs, est-ce qu’il faut continuer à graver les ZAC dans le marbre sous la houlette d’architectes béton du 20e siècle ?

PHOTO : Maxime Brochier


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L’Eco d’ici en Isère : l’Observatoire local des loyers de la métropole de Grenoble

Chaque année depuis 2016 un Observatoire local des loyers scrute les prix dans la métropole de Grenoble ainsi que dans certaines communes du Pays Voironnais, du Grésivaudan et de Bièvre-Est. Un appel est lancé aux propriétaires et locataires qui ne passent pas par agence immobilière.

Depuis 2016 c’est l’Agence d’urbanisme de la région grenobloise (AURG) qui gère, en Sud-Isère, l’Observatoire local des loyers (OLL). Un outil qui peut s’avérer précieux pour le particulier en recherche de logement ou de locataire – dans quelle tranche se situe mon bien ? – mais qui l’est aussi pour l’État et Grenoble Alpes Métropole dans la mise en place des politiques publiques en matière de logement et d’urbanisme. Pour son enquête annuelle 2024 l’AURG cherche, comme chaque année, des locataires ou propriétaires qui ne passent pas par agence immobilière et qui voudraient bien répondre à son questionnaire. Plus il y a de réponse et plus les données du panel donnent une photo fidèle des loyers pratiqués et qui sont ensuite disponible sur le site internet de l’AURG.

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Lyon : deux nouveaux étoilés dans le Guide Michelin 2024

Le Guide Michelin a dévoilé son palmarès 2024 ce lundi lors de sa cérémonie depuis le Palais des congrès de Tours. En tout, ce sont 60 établissements qui ont été promus par les inspecteurs dans ce millésime 2024 (contre 44 en 2023), dont 52 restaurants remportant une première étoile (contre 39 en 2023).



Lyon, la capitale de la gastronomie, a une fois de plus prouvé son excellence culinaire avec deux établissements qui décrochent leur première étoile : L’Atelier des Augustins (Lyon 1ᵉʳ) Burgundy by Matthieu (Lyon 2ᵉ). En travaux depuis fin 2022, le restaurant Les Loges a été retiré du livre rouge et perd donc son étoile. Le retard dans sa réouverture initialement prévue pour 2023 a eu raison de son étoile au Guide Michelin, une décision jugée “légitime” par son chef Anthony Bonnet.

à lire aussi : L’Atelier des Augustins (1er) fait peau neuve


En ce qui concerne les restaurants deux étoiles, la liste reste inchangée par rapport à l’année précédente. Enfin, pour la plus haute distinction, celle des trois étoiles, il n’y a pas eu de changement cette année. Cependant, il convient de noter que le célèbre restaurant Paul Bocuse n’a pas réussi à retrouver sa troisième étoile, perdue en 2020.

Un processus de sélection controversé

Si le Guide Michelin est une institution respectée dans le monde de la gastronomie depuis plus d’un siècle, le livre rouge n’a pas échappé aux controverses. Des critiques portant principalement sur deux aspects : le premier est le manque de transparence dans le processus d’évaluation, notamment sur le flou entretenu concernant le nombre d’inspecteurs. Le deuxième est la pression accrue qui repose sur les chefs pour maintenir leur(s) étoile(s). Plusieurs d’entre eux ont choisi de se retirer du guide ou de fermer leur restaurant pour arrêter l’escalade. 

Malgré ces points de controverse, le Guide Michelin demeure une référence incontournable dans le monde de la gastronomie. Son palmarès annuel est attendu avec impatience par les chefs et les gourmets du monde entier, qui scrutent chaque année les étoiles attribuée. 

Lyon et sa proche périphérie comptent désormais 5 restaurants deux étoiles et 14 établissements une étoile au guide Michelin, et voici la liste mise à jour des restaurants :

Restaurants 2 étoiles

Mère Brazier  
12 rue Royale, Lyon 1ᵉʳ 

Takao Takano
33 rue Malesherbes, Lyon 6ᵉ

Le Neuvième Art
173 rue Cuvier, Lyon 6ᵉ

Paul Bocuse
40 quai de la Plage, Collonges-au-Mont-d’Or

La Pyramide – Maison Henriroux
14 boulevard Fernand-Point, Vienne

Restaurants 1 étoile

L’Atelier des Augustins (entrée 2024)
17 Rue Hippolyte Flandrin, Lyon 1ᵉʳ 

Prairial
11 rue Chavanne, Lyon, Lyon 1ᵉʳ 

Burgundy by Matthieu (entrée 2024)
24 Quai Saint-Antoine, Lyon 2ᵉ

Rustique 
14 rue d’Enghien, Lyon 2ᵉ

Les Terrasses de Lyon
Villa Florentine, 25 montée Saint-Barthélémy, Lyon 5ᵉ

Au 14 février 
36 rue du Bœuf, Lyon 5ᵉ

Jérémy Gavlan 
29 rue du Bœuf, Lyon 5ᵉ

La Sommelière 
6 Rue Mourguet, Lyon 5ᵉ

Têtedoie 
4 rue Professeur-Pierre-Marion, Lyon 5ᵉ

La Mutinerie
123 Rue Bugeaud, Lyon 6ᵉ

Les Apothicaires 
23 rue de Sèze, Lyon 6ᵉ

Le Passe Temps
52 rue Tronchet, Lyon  6ᵉ

Le Gourmet de Sèze
125 rue de Sèze, Lyon 6ᵉ

Miraflores
112 boulevard des Belges, Lyon  6ᵉ

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Dans les Alpes, la justice met un coup d’arrêt à plusieurs projets touristiques liés au ski


La station de ski de l’Alpe d’Huez (Isère), le 14 février 2024. La station de ski de l’Alpe d’Huez (Isère), le 14 février 2024.

Des constructions d’hôtels ou de résidences de tourisme, l’aménagement d’une route vers un site naturel, l’installation d’une remontée mécanique, l’extension d’un domaine skiable… Il y a quelques années, dans les stations de ski des Alpes, ces projets seraient passés comme des lettres à la poste. Aujourd’hui, ils divisent les habitants – entre ceux qui veulent continuer d’aménager la montagne pour le ski et le tourisme, et ceux qui aimeraient porter un coup d’arrêt à cette vague, qui a fait la richesse de toute une région.

De plus en plus d’associations contestent en justice des projets d’aménagements portés par des élus, et obtiennent gain de cause. En l’espace d’un mois, les stations de ski de l’Alpe-d’Huez (Isère) et du Grand-Bornand (Haute-Savoie) ont eu chacune leur plan d’urbanisme retoqué par le tribunal administratif de Grenoble. Celui-ci a également annulé un projet de télésiège à Aussois (Savoie), le 5 mars.

Le plan de l’Alpe-d’Huez, qui prévoyait notamment la construction de trois hôtels et de deux résidences de tourisme (2 400 lits), a été tout bonnement annulé. En cause, une « évaluation environnementale insuffisante », des « incohérences » sur les besoins de nouveaux lits touristiques, et un manque de moyens consacrés à la rénovation des logements existants.

Celui du Grand-Bornand, en revanche, n’est que « suspendu ». Parmi les points soulevés par la rapporteure publique, figure l’impact des projets touristiques sur la ressource en eau, dans une station fortement dépendante des canons à neige. « En l’espace de quatre ans, la consommation d’eau liée à la seule neige de culture a augmenté de 53 %, et dépasse désormais la consommation d’eau potable », constate la magistrate Emilie Akoun.

Le ton avait été donné en 2023, lors d’une décision qui avait fait grand bruit : l’annulation, le 30 mai 2023, du schéma de cohérence territoriale de la Maurienne, un document voté par soixante-deux communes savoyardes, dont vingt-quatre stations (Valloire, Valmeinier, Saint-Jean-d’Arves, Valfréjus…). Cette feuille de route prévoyait l’extension de domaines skiables, et la construction de 22 800 lits touristiques, dont un Club Med de 1 000 lits à Valloire.

« Point de bascule »

Avec ces décisions, c’est toute une philosophie, basée sur l’expansion des domaines skiables et la croissance des constructions touristiques, qui est mise en cause. Un choc pour ces stations, qui estiment qu’elles ont besoin de ces constructions pour financer un système de plus en plus coûteux – nombre de skieurs qui baisse, hausse du coût de l’énergie, utilisation croissante des canons à neige –, et compenser la part croissante de leurs « lits froids » – des appartements occupés moins de quatre semaines par an.

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Inscription de l’IVG dans la Constitution, fin du tout-ski, écocide… les cinq bonnes nouvelles de mars

1 . L’IVG dans la Constitution française

Un pas historique pour le droit des femmes vient d’être franchi en France. Le 4 mars, le pays est devenu le premier dans le monde à reconnaître explicitement l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) comme un droit constitutionnel.  Après l’onde de choc qu’a suscité en juin 2022 l’abrogation de l’arrêt Roe vs Wade, qui protégeait l’accès à l’avortement outre-Atlantique, plus de 18 mois de débat ont été nécessaires aux parlementaires pour tomber enfin d’accord et sanctuariser ce droit. Et ce, 49 ans après la promulgation de la loi Veil en 1975 sur la dépénalisation de l’avortement. Lors de la cérémonie du scellement, le chef de l’Etat Emmanuel Macron a annoncé vouloir inscrire l’IVG dans la Charte des droits fondamentaux de l’UE, où “plus rien n’est acquis”.

2 . Le crime d’écocide reconnu au niveau européen

C’est officiel. Le 27 février, le crime d’écocide a été inscrit dans le droit européen. D’ailleurs, l’Union européenne est devenue la première instance internationale à avoir reconnu ce crime. Pour la députée européenne EELV Marie Toussaint, “le texte adopté peut ouvrir un nouvel âge du contentieux environnemental en Europe”. Concrètement, le commerce illégal du bois, les feux de forêt massifs, les marées noires, les prélèvements illicites d’eau… toutes ces infractions pénales s’apparentent désormais à un écocide. Côté sanction, le texte adopté prévoit des peines de prison et des amendes, en fonction de la gravité des faits. Une peine de 10 ans peut ainsi être requise pour les individus ayant commis des infractions entraînant la mort. De même, les entreprises pourront se voir infliger des amendes s’élevant de 3 à 5% de leur chiffre d’affaires mondial. Elles pourront également être privées de financements publics et seront tenues de réparer les dommages et/ou d’indemniser les victimes.

3 . Le pétrolier Perenco, persona non grata au Guatemala

Une décision forte. Le nouveau gouvernement du Guatemala, dirigé par le centre-gauche Bernardo Arevado, a décidé de ne pas renouveler le contrat d’exploitation pétrolière de la compagnie franco-britannique Perenco. Dans ce pays d’Amérique centrale, la présence de cette major pétrolière a suscité de nombreux problèmes d’ordre juridique, environnemental et de respect des droits humains. D’ailleurs, son site d’exploitation pétrolière se trouve en plein cœur du parc national Laguna del Tigre, une zone protégée depuis 1989 où est interdite toute activité humaine. Et cela semble être une habitude pour Perenco qui a obtenu l’autorisation de chercher et d’exploiter des hydrocarbures dans 74 aires naturelles protégées à travers le monde, comme l’a récemment révélé une enquête menée par le consortium international des journalistes d’investigation environnementale (EIF). Au Guatemala, la fin des opérations est d’ores et déjà prévue le 12 août 2025, date du terme du contrat.

4 . Vers la reconnaissance de la responsabilité de l’Etat dans le scandale du chlordécone

Les députés ont voté “oui”. Le 29 février, l’Assemblée nationale a voté en première lecture une proposition de loi visant à “reconnaître la responsabilité de l’Etat” dans la pollution au chlordécone en Martinique et en Guadeloupe, un insecticide toxique utilisé massivement dans les bananeraies de 1972 à 1993. Pour le député Elie Califer, rapporteur socialiste de la proposition, il s’agit “d’une victoire de la représentation nationale”. Si la responsabilité de l’Etat avait déjà été pointée dans le rapport d’une commission d’enquête parlementaire en 2019, c’est la première fois qu’un texte législatif la reconnaît dans “les préjudices subis par les territoires”. Au-delà de cette reconnaissance, l’Etat est également assigné à un objectif de dépollution des sols et d’indemnisation des victimes.

5 . Coup d’arrêt au projet d’aménagement de l’Alpe d’Huez

Le tout-ski, c’est fini !  Le tribunal administratif de Grenoble a annulé, le 15 février, le plan local d’urbanisme (PLU) de l’Alpe d’Huez. Ce plan prévoyait la création de 2 400 nouveaux lits touristiques alors que la station possède déjà 60% de lits froids, c’est-à-dire occupés moins de quatre semaines par an. L’objectif : retrouver la capacité d’accueil des années 1990 pour atteindre 31 000 lits d’ici à 2034. Pour France Nature Environnement, qui avait déposé un recours contre ce PLU, ce plan était “déconnecté des enjeux liés au réchauffement climatique”. “Cette décision envoie un signal aux stations de ski (…) il faut qu’elles soient raisonnables dans leurs projets immobiliers”, a expliqué Elodia Bonel, juriste au sein de FNE.

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Le Versoud « L’objectif de ce Plan local d’urbanisme est de rendre la commune désirable

« Cela fait trois ans et demi que nous travaillons sur ce nouveau Plan local d’urbanisme (PLU). C’est un projet au long cours, qui prévoit notamment un développement urbain raisonné, qui va favoriser la rénovation de quartiers (du côté du Pruney), et qui anticipe les besoins futurs de la population et de ce territoire en termes de développement économique, de logements, d’agriculture », se félicite le maire Christophe Suszylo, fier « de la concertation mise en place autour de ce projet et de son acceptation ». D’autant que les objectifs fixés entre autres par le Scot, le schéma de cohérence territoriale de la grande région de Grenoble, restent ambitieux. Demain, la commune s’engage à maîtriser sa croissance démographique (elle vient de franchir le cap des 5 000 habitants), la densification des espaces bâtis, contenir une urbanisation économe en foncier pour préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers (d’où son projet de PAEN, Périmètre de protection des espaces agricoles et…

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architecture 4 future lauréate du concours Plan Climat de Vienne-Condrieu Agglomération

Le cabinet « architecture 4 future » a remporté le concours des initiatives Plan Climat de Vienne-Condrieu Agglomération. Ce cabinet d’architecture créé récemment, implanté à Vienne même, dans l’ancienne vallée industrielle de la Gère,  conçoit des lieux de vie de demain visant à faciliter un mode de vie amélioré, économe et plus robuste.
Sous la direction de Patrick Stefan Rheinert, architecte diplômé en Allemagne mais aussi de l’INSA de Lyon, implanté depuis longtemps en région lyonnaise, l’équipe intègre quatre fondamentaux « agile », « citoyen », « sobre » et « végétal » dans chaque projet pour permettre et garantir  » des solutions diverses et de haute qualité. » Le but est de concevoir, d’imaginer, de mettre en oeuvre des réalisations agiles, citoyennes, sobres et respectueuses de l’environnement  » non seulement possibles, mais également désirables et accessibles à tous. »

Une ancienne usine transformée en lieu multifonctions

À Vienne, le cabinet vient de livrer le bâtiment totalement métamorphosé de la friche industrielle Crétin , une ancienne usine-atelier de mécanique, dans la vallée de la Gère affluent du Rhône descendant du plateau isérois, dont l’énergie hydraulique a permis il y a longtemps un développement industriel.  Le projet  »  Grünbox ‘ ( boite verte en allemand et en anglais ) comprend une salle polyvalente, des logements, un espace de co-travail, et même une Tiny House aménagée dans des conteneurs maritimes. L’opération a permis de créer un lieu de vie intergénérationnel, multifonctionnel et écologique.

Réemploi maximal

Pour cette opération phare, l’agence a mis l’accent sur le réemploi, pour conserver au maximum le bâtiment existant mais aussi pour les transformations. Environ 50 % des matériaux de construction sont issus du réemploi. , Mais des équipements  » en fin de vie »   ou déclassés ( anciennes enseignes lumineuses, cuisines, intégrées, mobilier, ) ont été utilisés astucieusement pour les aménagements.

Comparé au bilan d’une construction neuve, l’économie en CO2 (en cycle de vie) a été de 65% environ, ce qui représente environ 500 tonnes d’émissions évitées. Pour mémoire, en général, la construction, l’entretien, le chauffage des lieux de vie  représentent bien plus que la moitié des émissions en CO2 en France. Les architectes ont travaillé autant que possible avec des matériaux naturelles. Grâce à l’opération « Cœur de Villes » soutenue par Action Logement Services les loyers pour les logements sont très abordables.
Les architectes ont aussi  innové en expérimentant des solutions telles que la collecte des eaux pluviales dans une citerne piscine, encastrée entre la montagne et le bâtiment, des serres horticoles chauffées par récupération de calories de la ventilation des locaux ou un mix énergétique innovant pour assurer le confort thermique en saison chaude.
Malgré les défis, notamment le passage d’un statut de consommateur passif à celui d’acteur de son propre environnement, l’équipe entend  créer des espaces propices aux interactions sociales et à la participation active des habitants. Pour Patrick Stefan Rheinert, il s’agit de propager cet “virus positif du changement” à
tous les niveaux de la société.

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Grenoble : tisa­ne­rie, jar­din, ham­mam-sauna à terme… La Halle Iris sort de terre à la Villeneuve, sur le site de l’an­cienne piscine

DÉCRYPTAGE – La Ville de Grenoble et l’association La Halle des Iris ont présenté, mardi 12 mars 2024, la halle « transitoire » qui ouvrira fin avril, à la Villeneuve, sur le site de l’ancienne piscine Iris, fermée depuis 2015. Le projet ? Un tiers-lieu dédié au bien-être, avec plusieurs étapes. La Halle Iris abritera ainsi d’abord une tisanerie, un jardin d’aromatiques, une pergola, et accueillera d’autres associations et habitants. À terme, l’association gestionnaire prévoit de créer un hammam/sauna. Une seconde phase qui dépendra des options techniques et financières. D’où les critiques de l’opposition liées au flou et au coût de l’opération.

Sur le site de l’ancienne piscine Iris, au cœur du parc de la Villeneuve, entre le lac et les tours de l’Arlequin, les barrières indiquent un chantier toujours en cours et des ouvriers s’attèlent aux dernières finitions. Mais la nouvelle Halle Iris devrait bien voir le jour, fin avril 2024, avec une tisanerie, un jardin, une pergola… Et demain, hammam et sauna ? La Ville de Grenoble et l’association gestionnaire, La Halle des Iris, ont dévoilé, mardi 12 mars, les contours du futur tiers-lieu voué au bien-être et de la première étape de ce projet « transitoire« .

Grenoble : la Halle Iris, lieu voué au bien-être, remplace l'ex-piscine

Les adhérentes de l’association La Halle des Iris ont présenté leur projet d’occupation de la halle transitoire, le 12 mars 2024. © Manuel Pavard – Place Gre’net

Celui-ci aura mis de longues années à éclore. Fermée en 2015, puis victime d’un incendie en 2017, la piscine Iris était ainsi restée ensuite à l’état de friche semblant presque à l’abandon. Le lieu avait pourtant été intégré au dispositif “Gren’ de projets” en 2017. Un collectif réunissant plusieurs associations (KIAP arts martiaux, Villeneuve debout, Afric’impact, Planning, Mme Ruetabaga, les Ateliers populaires d’urbanisme), s’était même porté candidat pour proposer un projet de centre de bien-être.

Un coût de 800 000 euros pour la première phase du chantier

Mais ce dernier n’avait pas pu aboutir à l’époque, en raison de profonds désaccords. Une partie des associations impliquées avaient alors abandonné la démarche, tandis que d’autres membres du collectif ont « depuis pu faire mûrir le projet« , selon la Ville, accompagnés par les services municipaux et métropolitains, avant de se constituer en association en octobre 2022.

Grenoble : la Halle Iris, lieu voué au bien-être, remplace l'ex-piscine

La Halle Iris ouvrira fin avril 2024 sur le site de l’ancienne piscine des Iris, fermée depuis 2015, dans le parc Jean-Verlhac. © Manuel Pavard – Place Gre’net

Entre-temps, en effet, la municipalité a décidé d’engager d’importants travaux afin de réhabiliter l’ancienne piscine et la transformer en halle. Un chantier divisé en deux phases, la première, en voie d’achèvement, étant évaluée à près de 800 000 euros HT, pour un coût global de quelque 1,5 million d’euros (avec une subvention prévisionnelle de l’Anru d’environ 350 000 euros).

« Le vrai démarrage du dialogue et de la collaboration entre la Ville, la Métropole et le collectif, c’était à l’issue de “Gren’ de projets”« , tempère Cécile, membre de La Halle des Iris.

Si techniquement, neuf ans séparent la fermeture de la piscine de l’ouverture de la halle, la réalité est plus nuancée, selon Cécile, adhérente de La Halle des Iris. « Le vrai démarrage du dialogue et de la collaboration entre la Ville, la Métropole et le collectif, c’était à l’issue de “Gren’ de projets”, donc plutôt en 2018-2019 », tempère cette professeure à l’école d’architecture. « Là, on a divisé par deux le calendrier« , sourit-elle, allusion notamment à la période quasi blanche du Covid.

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Grenoble. Où en est-on du « chantier du siècle » à la Villeneuve

Voir mon actu

Au regard des sommes engagées dans ce projet, Chloé Pantel évoque « le chantier du siècle ». L’élue en charge de ce secteur est pleinement investie dans ce projet pharaonique.

Initié lors du premier mandat d’Eric Piolle, un immense chantier de rénovation du quartier de la Villeneuve est entrepris à Grenoble.

Tout y passe : école, logements, commerces, équipements sportifs. À elle seule, la Ville de Grenoble investit près de 60 millions d’euros pour la transformation de ce quartier populaire, sur les 258 millions nécessaires. actu Grenoble fait le point sur l’avancée des travaux.

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« La condition de vie des habitants de Grenoble »

Né dans les années 1970, le quartier de la Villeneuve est en 2023 terrain de grands chantiers. Des millions d’euros sont engagés par les pouvoirs publics avec des multiples objectifs : « agrandissement des logements, rénovation énergétique, revitalisation du quartier ou encore création de logements sociaux ».

« La démolition n’était pas moins couteuse et posait des problèmes de relogements », explique Chloé Pantel. Le coût, justement, est estimé à 60 millions d’euros pour la Ville qui s’étale sur un plan pluriannuel d’investissement.  

Interrogée sur l’importance des montants au regard de la dette de la Ville de Grenoble, la maire adjointe du secteur 6 assume : « Ce sont des sommes importantes, mais nous allons tenir notre engagement politique de faire ses travaux. C’est la condition de vie des habitants de Grenoble qui est en jeu ».

Pour le parc social, le projet prévoit la réhabilitation de plus de 2400 logements sociaux et la résidentialisation de près de 1300 logements sociaux. La démolition de 455 logements sociaux est prévue, avec en compensation la reconstruction de 521 logements sociaux neufs, sur d’autres secteurs de la métropole.

Service de la Ville de Grenoble

Selon les chiffres de la municipalité, près de 10 000 personnes vivent dans la galerie de l’Arlequin

Vidéos : en ce moment sur Actu

La carte interactive des travaux est disponible sur ce site. Elle permet de constater les opérations d’habitat, de développement économique, d’espaces publics, d’équipements publics.

Les travaux financés par plusieurs acteurs

Financé par la Métropole de Grenoble et les Villes de Grenoble et d’Échirolles, le projet urbain bénéficie d’investissement de plusieurs acteurs extérieurs :

L’ANRU,(Agence nationale de rénovation urbaine)
L’Anah (Agence nationale pour l’habitat), pour les copropriétés.
La Caisse des Dépôts et Consignations, sous forme de prêts contractés par les bailleurs sociaux,
Le FEDER (Fonds européen),
Les bailleurs sociaux (Actis, SDH, Alpes Isère Habitat, CDC habitat).

Des travaux à la Villeneuve plus qu’ailleurs ?

En se baladant au cœur du quartier, au sud de Grenoble, on se rend vite compte de l’ampleur des travaux. Tous les 10 mètres, Chloé Pantel se stoppe pour évoquer l’avancée des travaux de chaque bâtiment.

« On prépare l’avenir avec des appartements rénovés ». Au point de délaisser les autres quartiers ? « Non. On fait des travaux dans d’autres secteurs comme la réhabilitation et la piétonisation du centre-ville avec des budgets équivalents », assure l’élue.  

Un nombre de commerces suffisant ?

Les habitants le constatent tous les jours… la Villeneuve souffre d’une absence quasi-totale de commerce. Chloé Pantel défend les intérêts de la Ville : « Des commerces ont fermé et ce n’est pas de notre faute. »

Consciente du problème, l’élue du 6ᵉ secteur annonce à actu Grenoble que trois commerces vont ouvrir dans les prochains mois.

L’arbre fruité, traiteur et restaurant solidaire, est déjà présent, une boulangerie arrive et nous réfléchissons à donner la priorité sur un commerce de services ou de bouches pour le troisième.

Chloé PantelMaire adjointe de Grenoble

Une bonne nouvelle pour les habitants qui se plaignent régulièrement de ce désert commercial. Malgré tout, trois commerces pour des milliers d’habitants, est-ce suffisant ?

« C’est une notion subjective. On a un marché quotidien, deux pharmacies déjà présentes et un supermarché Auchan n’est pas loin », liste Chloé Pantel.

Des logements plus chers ?

Selon la majorité écologiste, les échanges avec les habitants sont permanents. « Pour chaque projet, une concertation est organisée. C’est notamment le cas pour le lac ». 

Plusieurs temps d’échanges ont effectivement été mis en place avec les riverains. Une concertation qui ne fait pas disparaitre les critiques.

Si l’action de la mairie se dit être dans l’intérêt des habitants du quartier, un point peut interroger : les loyers vont-ils augmenter au regard de l’amélioration des logements ?

Chloé Pantel se veut rassurante : « Nous avons des discussions avec les bailleurs sociaux, ils n’ont pas la volonté d’augmenter les loyers. De plus, tout est fait pour que les charges baissent avec les rénovations thermiques ».

Une rénovation qui favorise la sécurité du quartier ?

Pour beaucoup de Grenoblois, l’image du quartier de la Villeneuve est associée à l’insécurité liée au trafic de drogue. Une problématique prise en compte par la mairie. 

On ne fera pas disparaitre les points de deal en plantant des arbres.

Chloé Pantel

« Chaque rénovation des espaces publics est travaillée avec les référents sûreté. On sait pertinemment qu’on ne fera pas disparaitre les points de deal en plantant des arbres, mais la limitation de la circulation automobile et la destruction de lieux clos peut aider à la lutte contre le trafic de stupéfiant ».

Objectif 2030

La rénovation du quartier de la Villeneuve devrait s’achever en 2030 et « l’essentiel des aménagements seront terminés pour 2027-2028 ». Du moins, c’est l’objectif que se fixent les services de la Ville de Grenoble. 

Les habitations que nous sommes en train de bâtir peuvent durer 50 à 70 ans.

Chloé Pantel

Pour l’élue écologiste, la suite logique serait de débuter, dès la fin des travaux, la rénovation du quartier des Géants. 

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