La métropole de Grenoble lance la reconstruction de son siège historique de la rue Malakoff

La métropole de Grenoble a lancé ce mardi 17 septembre, en présence des entreprises concernées, le chantier de reconstruction de son siège historique de la rue Malakoff. L’immeuble bâtit dans les années 1970 a d’abord été choisi pour être le siège du SIEPARG (Syndicat d’études, d’aménagement et de programmation de l’agglomération), avant d’être celui de la communauté de communes, puis d’une communauté d’agglomération devenue, en 2015, une métropole de 49 communes.

Entre-temps la collectivité a petit à petit grignoté tous les étages d’un bâtiment devenu non seulement trop petit mais aussi obsolète. « Le bâtiment d’Alexandre Courtois, c’est un bâtiment livré en 1978, donc il a les pathologies de son époque, explique Mathias Bernhardt du cabinet d’architecture Baumschlager-Eberle, à savoir de l’amiante, des façades très, déperditives certaines zones à renforcer structurellement mais en soi, ça reste une belle architecture, bien pensée, fonctionnaliste, qu’il vaut la peine de conserver« . C’est le choix qui a été fait par la métropole de Grenoble : celui d’une reconstruction plutôt que d’un nouveau bâtiment

Le siège de la métropole de Grenoble avant/après, vu depuis la rue Malakoff et depuis le ciel
Le siège de la métropole de Grenoble avant/après, vu depuis la rue Malakoff et depuis le cielLaurent Gallien – Métropole de Grenoble – Architecte Baumschlager-Eberle

Un projet à 108 millions d’euros

Un choix tout aussi politique que financier selon le président de Grenoble Alpes Métropole Christophe Ferrari. Non seulement il est écologiquement plus responsable de « reconstruire la ville sur la ville » mais un nouveau bâtiment – à condition d’ailleurs de trouver du foncier et à quel prix – aurait coûté au moins aussi cher. Un investissement de cent huit millions d’euros qui est tout de même une somme conséquente. « Bien sûr, explique Christophe Ferrari, mais je n’avais pas très envie comme symbole, de dire écoutez, moi j’ai un bâtiment, je ne sais pas ce qu’il va devenir et en fait, je m’en fous […] Non, cette friche c’est la notre et on l’assume ». Quant au coût : les qualités énergétiques du nouveau bâtiment promettent « deux millions d’euros » d’économie par an et la métropole va passer de huit à un seul bâtiment. Les autres seront vendus ou les contrats de location rompus, ce qui représente autant d’économie.

Un bâtiment qui va passer à une très haute qualité environnementale

Le futur siège, pour lequel il faut néanmoins construire trois extensions au bâtiment actuel, présentera selon les plans des critères de haute qualité environnementale parmi les plus exigeants, « labellisé PassivHaus » (un label allemand) avec « six fois moins d’émissions de gaz à effet de serre, soit 75% de gain énergétique » par rapport à l’ancien. Aujourd’hui le bâtiment a été entière « désossé », et désamianté, avant la phase de reconstruction. Sa livraison est prévue pour fin 2027. D’ici là la métropole de Grenoble continu d’occuper l’ancien bâtiment de la CCI de Grenoble, place André-Malraux.

De l'ancien siège il ne reste plus désormais que la structure
De l’ancien siège il ne reste plus désormais que la structure © Radio FranceLaurent Gallien

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Grenoble : Flaubert se verdit

Démarrés cet été, les travaux sur les espaces publics de l’écoquartier Flaubert à Grenoble (Isère) visent à accroître la végétalisation, à mieux rééquilibrer les espaces au profit des piétons et des vélos et à créer des zones de détente et de convivialité. Ainsi, jusqu’en décembre 2025 se succéderont l’aménagement d’une place aux enfants sur le parvis de l’école Anne-Sylvestre, la requalification de la rue Marceline-Desbordes-Valmore et l’extension du parc Flaubert.

70 % de surfaces perméables. Autour de l’îlot Marceline réaménagé, le parc bénéficiera de nouvelles prairies et de plantations d’arbres à grand développement pour apporter de la fraîcheur. « Le projet prévoit également l’installation de bancs, dont certains “skatables”, de pontons et d’un nouvel éclairage public le long des cheminements », précise la Ville. La création de noues, de fossés et de creux permettra une meilleure infiltration des eaux dans le sol. A terme, 70 % des surfaces publiques réaménagées de la ZAC (90 ha) seront perméables, contre seulement 7 % actuellement.

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Le Champ-près-Froges La commune revoit son Plan local d’urbanisme

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Appel à l’imagination collective pour redessiner les entrées de villes

«Quelles sont vos idées pour transformer les entrées de ville ?» La question est adressée à tous. Une consultation en ligne lancée le 11 septembre par la Banque des territoires, via la plateforme Make.org, offre l’opportunité à qui veut d’imaginer comment les communes, à leurs portes, pourraient se montrer plus avenantes.

Urbanisme générique

Le champ est vaste et les sujets nombreux : comment transformer des paysages couverts de zones d’activités ou de supermarchés et autres enseignes contenus dans des boîtes aux affichages criards ? Quelles fonctions nouvelles introduire pour casser un certaine monomanie commerciale de la périphérie des villes ? Comment faire évoluer ces systèmes où la voiture est reine et y céder de la place aux piétons ou aux cyclistes ? Que faire des nappes goudronnées des parkings pour offrir plus d’espaces publics et de surfaces vivantes ? Enfin comment faire en sorte qu’à cet urbanisme aussi pauvre que générique se substitue des lieux où la ville puisse déjà affirmer une identité propre ? Les internautes ont jusqu’au 30 octobre 2024 pour laisser s’exprimer leurs envies et leur créativité.

Le constat de la médiocrité des entrées de villes a été établi de longue date et la situation a même eu droit à son appellation propre depuis que le magazine «Télérama», en 2010, avait publié en titre de une : «Halte à la France moche !» Mais alors que les aires les plus anciennes sont devenues de vraies zones de relégation urbaine et à l’heure où l’urgence climatique pousse à la sobriété foncière, la requalification des secteurs de périphérie est depuis 2023 une des priorités d’Action cœur de ville, ce programme national lancé en 2018 pour revivifier les centres urbains des petites et moyennes villes françaises. C’est d’ailleurs à l’occasion des sixièmes rencontres Action cœur de ville, le 10 décembre à Chartres, que les résultats de cette consultation seront présentés.

Des territoires et des investisseurs ont déjà engagé des initiatives tandis que des urbanistes, dont David Mangin, formulait des pistes de solution, la Banque des territoires, en sa qualité de premier financeur de la politique Action cœur de ville, a donc choisi d’ouvrir le débat. A croire que face à l’ampleur du problème, toute idée est bonne à prendre.

Sélectionné pour vous

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Climat Libé Tour 2024 : inscrivez-vous à l’étape de Grenoble

Transports, rénovation industrielle, végétalisation… En 2024, Libé explore la thématique de la transition écologique lors d’une série de rendez-vous gratuits et grand public. Objectif : trouver des solutions au plus près des territoires. Troisième étape de notre seconde édition : Grenoble, les 4 et 5 octobre. Un événement réalisé en partenariat avec la métropole de Grenoble et avec le soutien du Crédit coopératif, le groupe Vyv, l’Agence de la transition écologique (Ademe), la Fondation Jean-Jaurès, Oxfam, Greenpeace, le magazine Pioche ! et Vert le média. Entrée gratuite sur inscription.

Sommes-nous prêts à affronter le changement climatique ? Vagues de chaleur, méga-canicules… Si 2023 a de très loin été l’année la plus chaude jamais enregistrée, 2024 pourrait bien pulvériser ce record. Alors que le troisième Plan national d’adaptation est en stand-by suite aux élections européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale, la France détient-elle les outils et les connaissances nécessaires pour encaisser les conséquences d’un réchauffement à + 4 °C en 2100 ?

Les grandes agglomérations figurent au rang des plus vulnérables. Pour cause : en 2050, elles accueilleront près de 75 % des quelque 10 milliards d’habitants attendus sur Terre. Et la métropole de Grenoble ne fait pas office d’exception : dans les années 2050, les projections climatiques suggèrent un thermomètre à plus de 35 degrés pendant au moins 43 jours par an. En plus d’impacter la santé, ces phénomènes sont susceptibles d’entraîner des effets en cascade sur les réseaux de transports, l’électricité, le bâti, l’économie… et de se combiner avec la sécheresse, les inondations, la qualité de l’air… aggravant ainsi les inégalités latentes.

Comment se préparer à l’inévitable ? Avons-nous encore le temps d’adapter la vi (ll) e ? Sera-t-on contraint de migrer pour survivre ? Comment travailler, se déplacer, s’amuser dans des villes en surchauffe ? Par quelles mesures d’urgence protéger les plus vulnérables ? Quels nouveaux modèles économiques prôner ? Surtout, à quoi tenons-nous vraiment ?

Entrée libre, gratuite sur inscription : cliquez ici !

Intervenants

Le vendredi 4 octobre et le samedi 5 octobre, venez rencontrer et écouter Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, et ex-coprésidente du groupe 1 du Giec, Jeanne Cherhal, chanteuse et pianiste, François Gemenne, politologue et auteur du Giec, Adama Diop, comédien, Sandra Lavorel, écologue, médaille d’or du CNRS en 2023, Christophe Aribert, chef deux étoiles au Guide Michelin, Serge Zaka, agroclimatologue, Clara Arnaud, écrivaine, Freidi Meignan, vice-président de l’ONG Mountain Wilderness, Noël Mamère, ancien candidat des Verts à la présidentielle, Charlène Descollonges, ingénieure hydrologue, Philippe Torreton, comédien, Thomas Brail, militant, fondateur du Groupe National de Surveillance des Arbres, Adélaïde Charlier, cofondatrice de Youth for Climate Belgique, Christophe Ferrari, président de la métropole de Grenoble…

Vendredi 4 octobre – A la Maison de la Culture (MC2)

Grand Théâtre

10h30. Inauguration. Christophe Ferrari, président de la métropole de Grenoble et Paul Quinio, directeur délégué de la rédaction de Libération.

De 10h45 à 11h30. Comment nous réconcilier avec la nature ? Depuis toujours l’homme entretient une relation ambivalente avec la nature. Si cette dernière est source d’inspiration et de contemplation, elle fait aussi l’objet d’une domination sans bornes et d’une exploitation irraisonnée aux conséquences dramatiques : destruction des milieux naturels, disparition des espèces animales et végétales, pollutions… Comment repenser et restaurer le lien avec la nature ? Comment utiliser ses ressources sans agresser ? En quoi protéger la biodiversité contribue à lutter contre la crise climatique, et ainsi à préserver les sociétés humaines ?

Dialogue. Avec Sandra Lavorel, écologue, médaille d’or du CNRS en 2023, et Clara Arnaud, écrivaine, prix du roman d’écologie 2024 pour Et vous passerez comme des vents fous (Actes Sud).

De 14h30 heures à 16 heures. Demain, tous migrants ? Inondations, sécheresses, ouragans… En 2023, le changement climatique a forcé plus de 23 millions de personnes à se déplacer, et pourrait contraindre, d’ici à 2050, quelque 216 millions de gens à quitter leur foyer. Ces migrations climatiques restent en grande majorité circonscrites à l’intérieur des pays, à une échelle même sous-régionale. Sommes-nous réellement capables de prévoir les flux de migrations que pourrait entraîner la crise climatique ? Qu’en est-il de la France ? Et puis, quel statut juridique à ces déplacés climatiques ? La géopolitique pourrait-elle en être bouleversée ? Migrer, est-ce finalement le meilleur moyen de s’adapter ?

Débat. Avec François Gemenne, professeur à HEC, président du Conseil scientifique de la Fondation pour la nature et l’homme, et auteur du GIEC, Adama Diop, comédien, et Magali Talandier, professeure des universités à l’Institut d’Urbanisme et de Géographie Alpine de l’Université Grenoble Alpes.

Soirée d’inauguration

De 18 heures à 18h30. Masterclass de l’écrivaine Clara Arnaud : «A quoi tenons-nous vraiment ?»

De 18h30 à 20 heures. «Grenoble à 50 °C» : comment mieux vivre en ville ? La ville, minérale et dense, est particulièrement sensible à la chaleur. Une vulnérabilité qui se renforce avec l’accélération du changement climatique. Si rien n’est fait, en 2050, petites et grandes agglomérations seront invivables : à Grenoble, les prévisions suggèrent des températures à plus de 35 degrés pendant au moins 43 jours par an et une multiplication par six du nombre de nuits tropicales. Comment lutter contre les îlots de chaleur urbains pour protéger la santé, les infrastructures et les activités ? Quels risques à la «maladaptation» ? Redonner une place à la nature en ville est-elle la clé d’un avenir meilleur ?

Débat. Avec Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, membre du Haut Conseil pour le climat et ex-coprésidente du groupe 1 du Giec, Christophe Ferrari, président de Grenoble Alpes Métropole, Adélaïde Charlier, cofondatrice de Youth for Climate Belgique, et Aymeric Bosneagu, membre de la convention citoyenne métropolitaine pour le climat.

De 20h30 à 22 heures. Spectacle «L’éloge de la Forêt» de Patrick Scheyder, avec Thomas Brail. Billetterie.

Petit théâtre

De 11h30 à 13 heures.

Le ski, c’est vraiment fini ? La France est une destination majeure pour le tourisme d’hiver. Mais le modèle économique du ski français s’essouffle : les stations de montagne sont aujourd’hui durablement affectées par la hausse des températures. Produire de la neige artificielle ne suffira pas à les sauver. Dans un récent rapport, la Cour des comptes appelle notamment à une véritable transition du secteur. A quoi ressemblera la station de ski de demain ? Quelles stratégies et politiques d’adaptation déployer pour aider les professionnels de la montagne ? Ces derniers ont-ils réellement conscience des efforts à mener dans la lutte contre le réchauffement climatique ?

Débat. Avec Fredi Meignan, vice-président de l’ONG Mountain Wilderness, Marie Dorin-Habert, biathlète et propriétaire d’un hôtel-restaurant à Corrençon-en-Vercors (Isère), Pierre Vollaire, porte-parole et vice-président de l’Association Nationale des Maires des Stations de Montagne (ANMSM), et Maël Besson, expert en transition écologique du secteur sportif et ex-chef durabilité du ministère des Sports.

De 16h à 17h30. Comment manger sans dévorer la planète ?

L’agriculture est à la fois responsable et victime du changement climatique. Elle est source d’un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre (élevage, engrais chimiques…), et subi aussi de plein fouet les aléas climatiques (hausse des températures, sécheresses, grêlons…) Face à cette dichotomie, que faire ? Comment le secteur peut-il répondre au triple enjeu de sécurité alimentaire, d’adaptation des systèmes et d’atténuation au changement climatique ? Comment dépasser les peurs et les blocages ? Un avenir plus juste et durable pour les agriculteurs est-il possible ?

Débat. Avec Serge Zaka, agroclimatologue (en visio), Christophe Aribert, chef deux étoiles au Guide Michelin, et Bruno Caraguel, directeur de la Fédération des Alpages de l’Isère.

Samedi 5 octobre – A la Maison de la Culture (MC2)

Grand Théâtre

De 11 heures à 12h30. L’économie pompe-t-elle trop d’eau ?

Si l’eau est source de vie, elle est aussi le premier pilier de notre économie, laquelle pompe en France près des trois quarts de l’eau douce. Chimie, traitement des déchets, alimentation… constituent les principaux consommateurs de l’or bleu. A Grenoble, l’industrie électronique, très gourmande, suscite des tensions après plusieurs épisodes de sécheresse. Quelles conséquences le réchauffement climatique fait-il peser sur la ressource en eau et les activités ? Doit-on repenser notre modèle économique et pencher vers plus de décroissance ?

Débat. Avec Charlène Descollonges, ingénieure hydrologue [signature à la Librairie], Catherine Dauriac, présidente de l’ONG Fashion Révolution France, et Cécile Kebbal, directrice Ressources Humaines, référente RSE de la Manufacture d’histoire Deux-Ponts.

De 14h30 à 16 heures. Quelle culture, quel futur ?

Les secteurs de l’agriculture, de l’industrie, de l’énergie et des transports concentrent les efforts en matière de transition écologique. Pourtant, la culture consomme, elle aussi, beaucoup d’énergie pour s’alimenter, se chauffer, s’éclairer, se déplacer… Une dépendance dont le monde culturel a pris plus largement conscience. Comment tendre vers une culture plus durable ? Comment repenser la mobilité des publics et des artistes ? A quels dispositifs techniques et matériaux renoncer ?

Débat. Avec le Philippe Torreton, comédien, Jeanne Cherhal, chanteuse et pianiste, Jérôme Cochet, comédien et metteur en scène, Arnaud Meunier, directeur de la MC2.

De 16 heures à 17 heures. La forêt brûle-t-elle ?

En France, les forêts – qui couvrent près de 30 % du territoire – souffrent des multiples sécheresses et de la présence exponentielle d’espèces invasives favorisées par la hausse des températures ou les importations. De quoi favoriser la recrudescence des incendies, dévastateurs pour la biodiversité, et d’entacher son rôle de puits de carbone, essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique. Comment sauver nos forêts ? Planter des arbres, vrai ou fausse bonne idée ?

Débat. Avec Thomas Brail, militant et fondateur du groupe national de surveillance des arbres (GNSA), Mathilde Messias, adjointe au directeur territorial Auvergne-Rhône-Alpes de l’Office national des forêts (ONF), et Sylvain Angerand, ingénieur forestier et coordinateur des campagnes chez Canopée Forêts Vivantes.

De 17 heures à 18 heures. Le climat n’est-il qu’une affaire de jeunes ?

Angoissés par les conséquences du réchauffement climatique et d’un avenir incertain, portés par Greta Thunberg et la Génération Climat, des jeunes citoyens en quête de sens racontent l’histoire de «leur bascule». D’HEC à l’agroécologie, de la banque aux ONG, témoignages intergénérationnels des prises de conscience, des doutes et des rêves.

Débat. Avec Noël Mamère, ancien candidat des Verts à la présidentielle, Bella Lack, militante écologiste britannique et Tanguy Descamps, jeune citoyen engagé.

Petit théâtre

De 12 heures à 13 heures. Ces terres inconnues libérées par les glaciers

Le réchauffement climatique accélère la fonte des glaces et fait émerger des terres inconnues des hommes. Des sols, des lacs, des forêts primaires que les scientifiques appellent à protéger de toute urgence des activités humaines. Derrière le drame de disparition des glaciers, quels mystères se cachent sous cette neige accumulée depuis des millénaires ? Sont-ils susceptibles d’apporter des avancées majeures à la recherche ? Comment préserver ces écosystèmes ?

Débat. Avec Jean-Baptiste Bosson, glaciologue et chercheur au Conservatoire d’espaces naturels de Haute-Savoie, et Eric Arnal-Burtschy, artiste et chorégraphe.

De 15 heures à 16h30. Sécheresses, inondations… : qui payera la facture ?

Les records de températures mondiales continuent de tomber : l’été 2024 est le plus chaud jamais enregistré dans le monde. Des températures exceptionnelles qui favorisent les phénomènes extrêmes : sécheresses, tempêtes, inondations… En France, plus de 10 millions de maisons individuelles sont menacées par les mouvements de terrain, et plus de 18 millions de personnes au risque d’inondation. Face à multiplication de ces catastrophes, qui pour financer les dégâts ? Comment repenser le régime assurantiel au regard des défis posés par le changement climatique ?

Débat. Avec Vincent Boudières, responsable mission risques à Grenoble-Alpes Métropole et Guillaume Gontard, sénateur de l’Isère et président du groupe Ecologiste Solidarité et Territoires au Sénat.

A partir de 18 heures : Mini-concert de Jeanne Cherhal

Grand Studio

De 19 heures à 20 heures. Découvrez coulisses de la création de la pièce «Je suis une montagne» d’Eric Arnal-Burtschy.

Entrée libre, gratuite sur inscription : cliquez ici !

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Fusillades à Grenoble : Éric Piolle refuse d’armer la police municipale pour ne pas «l’exposer à des risques»

Grenoble et son agglomération ont enregistré plusieurs épisodes de violence par arme à feu au cours de l’été, qui ont fait un mort et une dizaine de blessés. Un agent municipal a été tué de deux balles dimanche matin.

Un agent municipal a été froidement abattu alors qu’il tentait d’empêcher la fuite d’un chauffard ayant provoqué un accident de la route ce dimanche. Interrogé sur BFMTV sur la question d’armer ou non les policiers municipaux, le maire de Grenoble, Éric Piolle, a réaffirmé sa position : «Moi, en tant qu’employeur, je considère qu’armer notre police municipale c’est les exposer à des missions qui ne sont pas les leurs et à des risques que je ne suis pas prêt à prendre pour eux», a-t-il déclaré. 

«La police municipale est là pour la tranquillité publique des habitants. Elle travaille en coopération avec la police nationale. Nous avons une convention de coopération. Nous faisons des réunions tous les mois sur chaque secteur sur la prévention et la sécurité de la délinquance», a précisé le maire. Depuis cet été, Grenoble et son agglomération ont enregistré plusieurs épisodes de violence par arme à feu au cours de l’été, qui ont fait un mort et une dizaine de blessés. 

Au sujet des caméras de vidéo surveillance, Éric Piolle a estimé qu’il ne pensait toujours pas que «mettre une caméra derrière chaque citoyen fera avancer les choses». «Je pense que notre sécurité ne peut pas se faire au détriment de notre liberté. Je pense que nous devons utiliser des outils qui sont à notre disposition mais que le premier outil est un outil humain.»

Il n’a aucune pudeur, aucune décence.

Éric Piolle au sujet de Christian Estrosi 

Le maire de Grenoble en a profité pour répondre au maire de Nice, Christian Estrosi, qui a déclaré la veille sur BFMTV-RMC que «tout le monde sait qu’Éric Piolle est un maire qui n’est pas forcément sécuritaire, autoritaire». «Ce n’est pas la première fois. Vous savez qu’après les attentats de Paris il avait accusé Anne Hidalgo de ne rien faire sur l’insécurité, et avait plastronné en disant qu’à Nice, ça ne pouvait pas arriver grâce à ses dispositifs», a rappelé Éric Piolle. «Six mois plus tard nous étions tous à ses côtés quand Nice a été frappée d’attentats terroristes. Il n’a aucune pudeur, aucune décence, je le laisse à ses travers, y compris dans cette période de deuil», a tranché le maire de Grenoble.

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Grenoble : un homme grièvement blessé par arme blanche, le suspect toujours en fuite

Dans la soirée du lundi 10 septembre, un homme d’une vingtaine d’années a été blessée à coup de couteau dans les rues de Grenoble et son pronostic vital est engagé.

Nouveau drame à Grenoble. Un homme a été grièvement blessé par arme blanche dans la soirée du lundi 10 septembre dans les rues de la plus grande métropole des Alpes.

La victime a été blessée à coup de couteau et son pronostic vital est engagé, selon les informations du Dauphiné Libéré. L’homme âgé de 24 ans est déjà connu des services de police, a ajouté la source policière, précisant qu’aucune interpellation n’avait eu lieu à ce stade.

Les faits se seraient produits vers 19h30 et l’homme a été notamment touché à la gorge, au ventre et au niveau d’une épaule avant d’être transporté au CHU Grenoble Alpes où il a été admis au service de déchocage. 

Plusieurs épisodes de violence à Grenoble

Les policiers grenoblois se sont rendus sur les lieux de l’agression pour tenter d’obtenir quelques témoignages qui pourraient permettre de comprendre les raisons de ce geste. 

Grenoble et son agglomération ont enregistré plusieurs épisodes de violence par arme à feu au cours de l’été, qui ont fait un mort et une dizaine de blessés.

Ce dimanche 8 septembre, Lilian Dejean, un agent de propreté de Grenoble âgé de 49 ans, a été tué par balles par un homme qu’il tentait d’empêcher de prendre la fuite après avoir provoqué un accident de la circulation dans le centre-ville. Le suspect de ce meurtre, connu de la justice notamment pour trafic de stupéfiants, a été identifié et est activement recherché.

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Un homme grièvement blessé par arme blanche à Grenoble

Lundi soir, un homme a été grièvement blessé par arme blanche lundi soir à Grenoble.
L’agglomération a enregistré plusieurs épisodes de violence par arme à feu au cours de l’été, qui ont fait un mort et une dizaine de blessés.

Un homme a été grièvement blessé par arme blanche lundi soir à Grenoble, a-t-on appris de source policière. La victime a été blessée à coup de couteau et son pronostic vital est engagé, a précisé cette source. L’homme âgé de 24 ans est déjà connu des services de police, a ajouté la source policière, précisant qu’aucune interpellation n’avait eu lieu à ce stade.

Selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré, les faits se seraient produits vers 19H30. L’homme a été notamment touché à la gorge, au ventre et au niveau d’une épaule avant d’être transporté au CHU Grenoble Alpes où il a été admis au service de déchocage.

Grenoble et son agglomération ont enregistré plusieurs épisodes de violence par arme à feu au cours de l’été, qui ont fait un mort et une dizaine de blessés.

Dimanche, Lilian Dejean, un agent de propreté de Grenoble âgé de 49 ans, a été tué par balles par un homme qu’il tentait d’empêcher de prendre la fuite après avoir provoqué un accident de la circulation dans le centre-ville. Le suspect de ce meurtre, connu de la justice notamment pour trafic de stupéfiants, a été identifié et est activement recherché.


AL avec l’AFP

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Agent municipal tué par balles à Grenoble : ce que l’on sait

Après un accident survenu entre deux véhicules, ce dimanche dans le centre-ville de Grenoble (Isère), un employé municipal a reçu deux balles dans le thorax. La victime est morte, le tireur est en fuite.

Une scène d’une extrême violence à quelques encablures de la mairie. À Grenoble, un agent municipal a été tué par balles ce dimanche 8 septembre. Les faits se sont produits vers 7h30 du matin, sur le boulevard Jean-Pain, dans le centre-ville et à proximité de l’hôtel de ville.

Selon le procureur de la République de Grenoble, Eric Vaillant, l’accident a eu lieu entre une Peugeot 2008 et une Audi RS3 avec une plaque d’immatriculation polonaise. Une altercation s’est ensuite produite et l’employé communal, chargé de la propreté et circulant à bord d’une Fiat Panda de la ville, a tenté d’intervenir. 

Toujours d’après le procureur, le responsable de l’accident a tiré deux coups de feu sur l’agent municipal qui avait cherché à empêcher le suspect de s’enfuir. La victime, transportée en urgence à l’hôpital, est finalement décédée. Les policiers recherchent activement le tireur.

Selon les informations du Dauphiné Libéré, l’employé municipal était âgé de 49 ans et père de deux enfants. Il s’agissait de l’un des responsables des service de propreté de la ville de Grenoble.

«l’ensemble du service public est meurtri»

«La ville de Grenoble, l’ensemble de ses agents et élus, sont sous le choc devant cet acte inqualifiable, d’une violence extrême» a réagi la mairie dans un communiqué.

«La ville condamne les faits et apporte son plein soutien à l’agent ainsi qu’à sa famille, ses collègues de travail et tous ses proches. Aujourd’hui, c’est l’ensemble du service public qui est meurtri», a expliqué la mairie dirigée par l’écologiste Eric Piolle.

«Nous sommes en deuil» a réagi l’édile sur X. D’après France Bleu Isère, «très affecté», ce dernier n’avait pas réagi directement. La mairie a aussi annoncé ouvrir «demain (lundi) une cellule de veille psychologique».

Régulièrement, Grenoble et sa région sont sous le feu des projecteurs, la ville étant gangrenée par le trafic de drogue et les fusillades à répétition sur fond de règlements de comptes. A ce stade, rien ne permet toutefois de dire si le suspect, toujours en fuite, est un quelconque trafiquant.

La chronique a été générée aussi sérieusement que possible. Dans la mesure où vous désirez mettre à disposition des renseignements supplémentaires à cet article sur le sujet « Urbanisme de Grenoble » vous pouvez utiliser les contacts affichés sur notre site web. Le but de urbanisme-grenoble.com est de débattre de Urbanisme de Grenoble dans la transparence en vous donnant la visibilité de tout ce qui est mis en ligne sur ce thème sur le net Cet article, qui traite du thème « Urbanisme de Grenoble », vous est volontairement proposé par urbanisme-grenoble.com. Connectez-vous sur notre site internet urbanisme-grenoble.com et nos réseaux sociaux pour être informé des prochaines publications.

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